L’Amour… Je t’aime mais dois-je t’aimer ?
Je t’aime mon amour, la nuit fut bonne
Mais je l’ai voulu furtive à souhait.
Je repars avec mon sablier.
La génuflexion de la facétie en larmes, et la pitié de l’amour.
La génuflexion d’une mère, et la présence du nouveau né.
La génuflexion d’un homme, et la tendresse de sa femme.
La génuflexion d’un frère pour la protection de sa sœur
La génuflexion d’un ami, au chevet de l’ami tourmenté.
L’amour a pour objectif le verbe vouloir, vouloir pour soi et vouloir pour l’autre !
L’amour a pour objectif le verbe voir, voir sa progéniture s’épanouir !
L’amour a pour objectif le verbe aimer, aimer pour recevoir aussi un peu d’amour !
L’amour à l’art d’aimer la solitude car aimer, donner de l’amour demande un don de soi, un don de sang, un don de nos affects les plus refoulés, l’amour ne répond à aucun postulat, aucune évidence, si ce n’est la recherche de notre conception du beau, du surprenant, de cette étincelle pour l’union de nos futurs actes.
La conquête est belle, héroïque et quelquefois destructrice.
Des actes d’amour somnolent, des mains se figent, avec vigueur,
et même à son sommet, elle nous offre sa falaise, notre espiègle solitude.
L’amour, c’est cet égoïste, frappant à la porte de l’incompris, on se perd de temps en temps dans l’embrasure.
L’amour, l’acte d’amour est une révolution que l’on s'offre, un combat de haute lutte, qui se gagne, reste à savoir s’il y a un gagnant ou un perdant, le bien-être de chacun consomme la cendre des ébats de l’amour.
Je t’aime, moi non plus ; ton amitié me sied à ravir mon ami, merci pour ton étreinte
L’amour et notre sentiment de liberté, toujours en question :
Je t’aime mais dois-je t’aimer ?
Dois- je me haïr pour recevoir ton amour ?
Dois-je me consumer pour avoir très peu de toi ? Dois-je te donner pour errer dans un eternel recevoir ? Incessant calcul d’apothicaire
On s’épuise à vouloir vivre avec amour.
Un peu de toi et de moi, que notre bonté reste vive.
L’amour et ses territoires sont à conquérir, à pétrir, à sermonner, à tutoyer avec nos plus belles pensées, même celles sanglées dans nos clergés. Aimons-nous jusqu'à ce que l’amour existe
N’hésitez pas à donner de l’amour avec un peu de votre chair, avec un peu de votre être et l’amour brandira encore son étendard empli d’humanité
« Enseignez-moi la peur de vous aimer
Enseignez-moi, moi l’être modeste
À jouir de vos sourires et de vos arcanes
Que d’envies me tourmentent
Et de vos pupilles, j’aimerais soustraire
Mon misérable désir de vous aimer
Donnez-moi un plus de votre être.
Je vous aime et à ce jour rien n’est converti »
Je t’aime mon amour, la nuit fut bonne
Mais je l’ai voulu furtive à souhait.
Je repars avec mon sablier.
La génuflexion de la facétie en larmes, et la pitié de l’amour.
La génuflexion d’une mère, et la présence du nouveau né.
La génuflexion d’un homme, et la tendresse de sa femme.
La génuflexion d’un frère pour la protection de sa sœur
La génuflexion d’un ami, au chevet de l’ami tourmenté.
L’amour a pour objectif le verbe vouloir, vouloir pour soi et vouloir pour l’autre !
L’amour a pour objectif le verbe voir, voir sa progéniture s’épanouir !
L’amour a pour objectif le verbe aimer, aimer pour recevoir aussi un peu d’amour !
L’amour à l’art d’aimer la solitude car aimer, donner de l’amour demande un don de soi, un don de sang, un don de nos affects les plus refoulés, l’amour ne répond à aucun postulat, aucune évidence, si ce n’est la recherche de notre conception du beau, du surprenant, de cette étincelle pour l’union de nos futurs actes.
La conquête est belle, héroïque et quelquefois destructrice.
Des actes d’amour somnolent, des mains se figent, avec vigueur,
et même à son sommet, elle nous offre sa falaise, notre espiègle solitude.
L’amour, c’est cet égoïste, frappant à la porte de l’incompris, on se perd de temps en temps dans l’embrasure.
L’amour, l’acte d’amour est une révolution que l’on s'offre, un combat de haute lutte, qui se gagne, reste à savoir s’il y a un gagnant ou un perdant, le bien-être de chacun consomme la cendre des ébats de l’amour.
Je t’aime, moi non plus ; ton amitié me sied à ravir mon ami, merci pour ton étreinte
L’amour et notre sentiment de liberté, toujours en question :
Je t’aime mais dois-je t’aimer ?
Dois- je me haïr pour recevoir ton amour ?
Dois-je me consumer pour avoir très peu de toi ? Dois-je te donner pour errer dans un eternel recevoir ? Incessant calcul d’apothicaire
On s’épuise à vouloir vivre avec amour.
Un peu de toi et de moi, que notre bonté reste vive.
L’amour et ses territoires sont à conquérir, à pétrir, à sermonner, à tutoyer avec nos plus belles pensées, même celles sanglées dans nos clergés. Aimons-nous jusqu'à ce que l’amour existe
N’hésitez pas à donner de l’amour avec un peu de votre chair, avec un peu de votre être et l’amour brandira encore son étendard empli d’humanité
« Enseignez-moi la peur de vous aimer
Enseignez-moi, moi l’être modeste
À jouir de vos sourires et de vos arcanes